De Tugny-et-Pont à Berlancourt : 14 km. Dur dur aujourd’hui. Jean-François m’avait prévenu. Avant Paris, le Chemin est surtout un chemin de solitude. Particulièrement pour moi, sur le goudron, la hanche rouspète et je m’arrête souvent, le sac à dos est lourd.
Enfin, le balisage GR emprunte des sentiers herbeux et ombragés. Ouf, la hanche s’est tue.
Et c’est l’arrivée à l’accueil pèlerin de Berlancourt, chez Dominique. Là je découvre une femme extraordinaire, dynamique et joyeuse. Son mari et elle ont commencé à accueillir en avril 2001 et font partie de la Confrèrie des Amis de Saint-Jacques de Compiègne, à l’origine du Chemin Estelle depuis 2005.
Demain dimanche 30 juillet, j’irai avec Dominique à la messe de 10 heures à l’abbaye d’Ourscamps, ce qui me permettra en plus d’arriver demain soir à Compiègne, si tout va bien.
Comme je peux lire tout se passe bien pour toi, ça a l’air génial, ça doit être une expérience EXCEPTIONNELLE, enrichissante mais FATIGANTE quand même non? chapeau en tout cas et prends soin de ta hanche 😉
Bonne route Bizzz lucie
On te suit et on te « porte ». Pour ta hanche, n’as-tu pas de l’arnica en 5ch en France?… un petit mot d’encouragement :
« que la route s’ouvre à ton approche, que le vent souffle dans ton dos, que le soleil réchauffe ton visage, que la pluie ruisselle dans les champs, et que jusqu’à la prochaine rencontre, Dieu te garde dans la paume de ses mains » Yvette de Saint Jean de Dieu