Un pélérinage de trois mois, ça ne s’improvise pas !
Les jours passent, intenses, les préparatifs vont bon train : derniers achats, derniers classements administratifs, premiers au-revoirs, la pesée du sac maintes fois testée, rangements, lessives, cueillette des haricots (mmh!) tout cela le plus possible dans la sérénité mais c’est bien difficile, de fortes émotions me bouleversent.
Dernier jour de travail et trajet aller-retour à pied à titre de dernier entraînement et un rodage des toutes nouvelles chaussures de randonnée
Les blés ondoient, le ciel si bleu, si calme, c’est l’heure de la sieste, le chuintement des sangles de mon sac interloque le troupeau de génisses qui s’approche de la clôture, cherchant le contact : Bonne journée les belles rousses !
Merci!, me répondent-elles.
Ca y est, je parle aux vaches. Tu avais raison Claudine !
bonne route a bientot
Chère Fabienne,
C’est avec émotion également que je reçois cette invitation à découvrir ton blog et à te suivre sur ce chemin déjà entamé…
Je souhaite vraiment que celui-ci t’amène dans des méandres que tu ne soupçonnes pas. Beaucoup des histoires que j’ai pu lire sur les chemins sont riches de rencontres et d’anecdotes magnifiques. Je pense que quelque part je t’envie…;-)
Je te souhaite bonne route, de belles rencontres, de belles images et des souvenirs à n’en plus finir.
Chère Fabienne, je souhaite de tout coeur que tout se passe bien. Si tu parles aux vaches, c’est pas grave sauf que tu n’auras pas de RÉPONSE. Bonne route, amitiés, FRANÇOISE.